Encore un réveil difficile sans ma montre
Je ne sais pas quelle heure il peut être mais par contre,
Sans m’en rendre compte tout à coup tu te montres …
Tous les matins c’est contre toi que je dois me battre
Oh toi la fatigue, tellement grande que tu sembles devenir quatre
Me voici dans un brouillard en expansion constante
Seule la tauromachie qu’elle diffuse peut enfin m’apaiser
Quel monde de brutes dans lequel on vit … et que dire des sushis ? c’est peut-être ma télé le problème précis…
Je devrais investir dans une Hitachi pour contrer cette fatigue qui ne sait que grandir.
Texte composé en atelier d’écriture le 9 avril 2019 – Le U La Duchère.
